mercredi 19 juillet 2017

L'étude sur la baisse du vent passée sous silence au nom d'enjeux financiers !

Le Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat (GIEC) - organe international chargé d’évaluer les travaux scientifiques consacrés aux changements climatiques, créé en 1988 par l’Organisation Météorologique Mondiale (OMM) et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) - constate une baisse du vent de - 10% en Europe, voire -20% en France de nature à remettre en cause la filière éolienne. « 

Il est notoire que des études de circonstances sont réalisées sur les opérations d’éoliennes pour justifier leur implantationCes études sont réalisées en seulement quelques mois sur la base de modèles informatiques non homologués par les instances officielles, et sur une durée très courte incompatible avec les bases de la météorologie.

Les études de vent servent avant tout à établir un chiffre d’affaires optimiste qui valorisera l’opération, et donc sa revente à des financiers, dès sa mise en fonctionnement 








Le thème de l’écologie est sans aucun doute celui qui fait l’objet de la plus grande attention de l’opinion. Alors que le moindre iceberg est surveillé dans l’Arctique, alors que le niveau des lacs est mesuré tous les ans, alors que les iles du Pacifique sont observées à la loupe, la diminution sensible et régulière du vent en Europe appelle les décisions nécessaires.

On comprend que la filière éolienne fasse silence par tous les moyens sur cette découverte scientifique. Alors que cette filière a largement été inspirée par l’aubaine d’une taxe fixe payée par le contribuable pour profiter de l’énergie gratuite du vent, la diminution du vent remet fortement en question ce procédé dont on nous dit qu’il doit remplacer les énergies fossiles. Cette solution fragile et coûteuse est condamnée à l’échec, et il est insupportable de jouer avec l’espoir de la population.

Alors que les lobbies sont fortement contestés au niveau européen pour leurs actions discutables et les soupçons réguliers de corruption, le silence fait sur cette annonce scientifique par un groupe de travail du GIEC est très gênant. Les études Négawatt/Ademe, en sont  infirmées et ridiculisées dans leur manque de rigueur scientifique, alors que cette publication d’une équipe officielle du GIEC est connue depuis 2010. Il y aurait même lieu de demander une enquête sur les influences qui ont pu les concerner pour avoir sciemment ignoré cette source officielle.

» (Source : Ludovic Grangeon expert conseil en assistance aux entreprises et services publics, – 11/07/2017, economiematin.fr).  

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